Le vendredi 7 avril dernier, les 3e du collège ont passé un petit examen de sécurité routière : l’ASSR2, attestation scolaire de sécurité routière numéro 2. Je pensais que ce qu’on nous demanderait serait un peu plus ardu que deux ans plus tôt, lorsque j’ai passé l’ASSR1.

Mais en fait tout était très semblable, nous nous sommes réunis en salle d’animation où un diaporama nous a été projeté, illustrant différentes situations qui pourraient se présenter à un élève de 3e, en vélo ou en scooter. Pour chacune de ces mises en scène artificielles, une question à choix multiple (QCM) était posée, il fallait cocher la ou les bonne(s) réponse(s) sur son papier.

 

A la fin de l’épreuve, une correction a été donnée, afin que les élèves ne repartent pas sans avoir appris quoi que ce soit. Nous sommes ressortis de la salle une heure après y être entrés.

 

Sur les 20 questions, 10 doivent être justes pour valider l’ASSR, qui est obligatoire pour pouvoir passer le permis de conduire et le brevet de sécurité routière, indispensable pour conduire un cyclomoteur.

 

Nostalgie…  ou « Back in the primary school »

En primaire déjà, nous passions toute la matinée dans une salle avec des policiers municipaux pour s’informer des plus élémentaires règles de sécurité routière. Puis, nous enfourchions des vélos et nous slalomions entre des plots, en veillant à bien respecter les feux et les panneaux.

 

Durant leur scolarité, les élèves acquièrent progressivement des connaissances routières pour pouvoir plus tard conduire en ayant conscience des dangers de la route. Je vous rappelle qu’une dizaine de personnes meurent chaque jour d’un accident de la route en France.

 

Pour plus de précisions, allez sur le site de la sécurité routière :http://www.securite-routiere.gouv.fr/.

 

Alexis W

 

 

*Les Beatles ont chanté « Back in the USSR » en 1968